Maîtres(ses) et soumis(es),

Je découvre enfin ce à quoi j’aspire depuis des années. Bien au-delà du « BDSM » je découvre le bonheur d’appartenir à un Homme que j’ai choisi pour Maître, que je respecte pour la considération qu’il me porte et non pour sa violence.

Lors de mes premiers échanges avec Kin, j’ai été surprise de l’importance qu’il accordait à la femme que j’étais. J’ai été séduite par le naturel simple et imposant de ses attitudes.

Son expérience me faisait peur au début : Que pourrais-je offrir à un Maître qui a presque tout « vécu » ? Autant de choses qui m’attirent que d’autres qui m’effraient ou me rebutent ?

Depuis un an, pas une seule fois il a eu besoin de m’attacher pour obtenir ce qu’il voulait, ni de me violenter, ni de m’insulter.

La douceur de sa voix ne me laisse pas le choix, l’agilité de ses mains imposent fermement sans avoir besoin de me bousculer, la considération qu’il me porte m’incite à mettre tout en œuvre pour ne pas le décevoir et d’être demandeuse de tout ce qui pourrait le satisfaire.

La confiance qu’il a su créer dès les premiers instants n’a fait qu’attiser mon désir de lui abandonner toute ma volonté, mon corps, mon esprit et, « bien pire encore », des sentiments profonds qui rendent chaque accomplissement beaucoup plus cérémonial que tous les scénarios dont d’autres Maîtres(ses) et soumis(es) ont besoin pour atteindre un plaisir bien moindre que celui que nous partageons.

May